lenouveau rapport de la cia : comment sera le monde de demain pdf télécharger. 06/08/2020
IrynaTuz vit à Toulouse depuis 9 ans. Elle vient de passer 3 semaines dans son pays d’origine pour prolonger le travail humanitaire qu’elle mène avec l’association Ukraine
Obtenezle livre Le nouveau rapport de la CIA : Comment sera le monde en 2025 ? de Alexandre Adler,Claude Farny (Trad au format PDF ou EPUB. Vous pouvez lire des livres en ligne ou les enregistrer sur vos appareils. Tous les livres sont disponibles au téléchargement sans avoir à dépenser de l'argent.
LeRapport de la CIA, "Comment sera le monde en 2020 ?" De Alexandre Adler éd. Robert Laffont A partie de 1 € sur France, à quand le réveil ?
Détailde l'auteur. Auteur Alexandre ADLER Documents disponibles écrits par cet auteur Affiner la recherche. Le nouveau rapport de la CIA / Alexandre ADLER ) )
30HLZ6b. Accueil > Alexandre Adler Ecrivain, historien, journaliste, spécialiste des relations internationales, Alexandre Adler est l'une des voix marquantes de notre temps. Il est l'auteur de plusieurs livres qui ont été traduits dans le monde entier. Une affaire de famille d' Alexandre Adler 136 pages - avril 2014 16,50€ JE COMMANDE Quand le Tibet s'éveillera d' Alexandre Adler 200 pages - févr. 2020 19,00€ JE COMMANDE Placards & Libelles 5 - Le basculement des empires ou le monde comme il ne va plus d' Alexandre Adler 16 pages - déc. 2021 2,50€ JE COMMANDE
Autrefois, il n'y a pas si longtemps, lorsque l'on partait en voyage d'affaires dans la Silicon Valley, on allait à la rencontre de l'avenir de la Tech ». Aujourd'hui le futur qui se dessine en Californie, ne concerne pas que les fabricants d'ordinateurs ou de smartphones, les spécialistes du logiciel comme de la puce de silicium. Ce qui se trame dans l'Ouest américain, c'est le monde de des inventions majeures comme le PC ou le téléphone mobile ont déjà bouleversé notre quotidien. Mais le plus souvent, la technologie a eu tendance à progresser en circuit fermé. Dopé à la loi de Moore, les grands noms du digital se contentaient d'améliorer leurs produits. Le progrès était avant tout synonyme de meilleure performance. Pas de changement de règles du jeuAvec l'avènement d'Internet au cours de la deuxième moitié des années 90, nous avons changé de monde. La Tech » n'est plus simplement qu'au service de la Tech ». La révolution numérique qui a été enclenchée rebat toutes les cartes. Dans le transport, les loisirs, les voyages, la production… Les règles du jeu ont déjà changé et le digital irrigue progressivement toutes les activités humaines. La Tech » était un monde à part, c'est devenu un trait d'union de nos la montée en puissance qui s'accélère de l'intelligence artificielle, c'est maintenant le deuxième chapitre de cette révolution digitale qui s'ouvre. Comme le démontre le rapport Villani, l'IA ne va pas être qu'un simple gadget pour geek ou un outil pour les laboratoires de R & D. Il s'agit bel et bien d'un nouveau langage, d'une nouvelle forme d'intelligence qui va progressivement pénétrer les foyers, les bureaux, les usines, les écoles ou les hôpitaux. L'IA va s'inviter au coeur de notre l'aube de ce nouveau monde, la France qui a en grande partie raté la révolution de l'Internet a toutes les raisons d'être inquiète. Car ceux qui ne maîtriseront pas les codes de l'Intelligence artificielle risquent d'être ramenés dans les décennies qui viennent au rang de colonies numériques. Les superpuissances de demain seront celles qui auront mis l'AI au coeur de toutes leurs stratégies. Les Etats-Unis comme la Chine l'ont bien pas avoir peurCette révolution est encore pleine d'incertitudes. Tant sur son rythme que sur son impact, l'IA pose pour l'instant plus de questions qu'elle n'apporte de réponses. Notre inquiétude est donc légitime mais elle ne doit pas nous conduire à l'immobilisme. Il va falloir innover, prendre des risques et choisir ses batailles. La France ne pourra pas tout faire mais elle des atouts qu'elle va devoir exploiter en faisant de la recherche dans l'intelligence artificielle, une vraie priorité nationale. C'est une question de affronter la montée des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures découvre les offres
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Annonçant avec une précision stupéfiante le monde dans lequel nous vivons – jusqu'à la crise du coronavirus –, ce texte visionnaire nous donne à la fois les clefs pour comprendre et les armes pour vaincre l'adversité." Avec une crise financière sans précédent, au moins de puis 1929, un réchauffement de la planète unanimement constaté, la crainte de bouleversements bio-politiques, dans des domaines aussi variés que l'eau, l'énergie, l'agriculture ou même les épidémies, notre monde actuel n'incite pas toujours à l'optimisme béat. Pourtant, une prospective plus approfondie et moins terrorisée nous ouvre de nombreuses pistes, par lesquelles l'Humanité du XXIe siècle devrait quand même parvenir à dégager des solutions. Il s'agira surtout de réduire la part guerrière de notre géopolitique au bénéfice des échanges, de l'innovation technologique ainsi que du développement durable. Ces sont ces prospectives à court et à moyen terme qu'explorent à nouveau les spécialistes du renseignement américain. Les experts qui ont travaillé sur ce rapport pendant plusieurs années et ont cette fois étendu considérablement le champ de leurs investigations, fournissent au président Obama une sorte de viatique pour entreprendre le changement planétaire que tout le monde attend. " Alexandre AdlerTerrorisme en retrait, glissement du pouvoir économique de l'Occident à l'Orient, pénurie d'eau, déclin des ressources en hydrocarbures, nouvelles technologies... Une fois de plus un document passionnant qui nous éclaire sur le monde qui nous attend dans les prochaines décennies, et où surtout, pour la première fois, les américains reconnaissent qu'ils ne seront plus les maîtres du monde ! Dans sa présentation, Alexandre Adler explore, en lever de rideau, les plus grands dangers géopolitiques actuels et suggère quelques moyens de les prévenir, pendant qu'il est encore temps.
Publié le 22 oct. 2018 à 1707Les technologies avancées sont déjà utilisées par beaucoup d’entreprises, mais ne sont pas encore démocratisées. On observe aujourd’hui un écart entre ceux qui utilisent les technologies du futur, et les autres. Ce phénomène a des conséquences particulièrement visibles sur le marché du travail, car nombreux sont ceux qui ne savent pas quelles compétences seront indispensables à l’avenir, ni comment les acquérir. Les nouvelles technologies peuvent aussi représenter une source d’inquiétude pour certains, et ce, même pour les "digital natives". Selon une étude menée par Gallup en 2017, 37 % des Millenials redoutent la perte de leur emploi à cause de l’Intelligence artificielle au cours des 20 prochaines années. Pourtant, plusieurs études comme celles du centre pour la recherche économique européenne ZEW en Allemagne mettent en évidence que les sociétés qui investissent dans le numérique créent aujourd’hui davantage d’emplois que les de métiers parmi ceux que nous connaissons aujourd’hui existeront dans le futur ? Quelles activités humaines pourront être assurées par des machines grâce au Machine Learning ? Quelles tâches seront réservées aux humains ? Existera-t-il de nouveaux métiers dont nous n’avons aucune idée aujourd’hui ?Futur du travail ou travail du futur ?S’il est légitime de se poser toutes ces questions, force est de constater que la technologie peut améliorer l’expérience client et faire évoluer les domaines nécessitant la création d’emplois. Il ne faut donc pas se baser sur les logiques actuelles pour réfléchir à la façon dont nous travaillerons l’industrie par exemple, de nombreuses tâches réalisées par les humains nécessitent la même charge de travail qu’auparavant. De même, l’activité d’un médecin, d’un avocat ou d’un chauffeur de taxi a relativement peu changé au cours des dix dernières années. Seuls certains éléments de leur métier sont désormais réalisés ou pris en charge par des machines. Mais à l’ère du numérique, les humains font bien plus que compenser ce que les machines sont incapables d’effectuer. Le travail réalisé par les hommes et les machines se concentre sur un objectif crucial, celui de résoudre les problématiques des l’industrie automobile, il ne s’agit plus seulement de produire des voitures, mais d’amener les clients à destination. La logique de la mobilité est pensée dans son ensemble et a pour point de départ les utilisateurs. Les problèmes sont définis et pré-structurés par les humains puis les machines et algorithmes prennent le relais pour développer des solutions. L’analyse et les décisions finales d’application restent une tâche le domaine de la santé, les radiologues sont désormais assistés par des outils basés sur le Machine Learning leur permettant d’évaluer le contenu numérique d’une manière jusque-là inimaginable. De nombreux radiologues affirment même que les conseils basés sur le Machine Learning améliorent grandement leurs capacités d’interprétation des est également possible de "ré-humaniser" davantage le travail et de donner encore plus d’importance à nos compétences. Jusqu’à présent, l’accès aux technologies numériques était avant tout réservé aux machines avec nos systèmes, les interfaces ne sont plus pilotées par des machines, et dans le futur, les humains seront le point de l’ère de l’automatisation par exemple, quiconque souhaitait apprendre à un robot à marcher devait calculer précisément chaque angle de la pente de la cuisse, la vitesse du mouvement et d’autres paramètres, avant de programmer cette commande. Dans le futur, nous serons capables de communiquer avec les robots dans "notre" langage, simplifiant et systématisant la collaboration homme-robot. Sur contrôle vocal, le robot pourra par exemple apprendre seul à marcher grâce à un analyseur de mouvement lui permettant d’adapter et répliquer le mouvement humain. Grâce aux nouvelles technologies et à une puissance de calcul toujours plus élevée, le travail du futur sera davantage axé sur les individus et moins sur les la relation entre l’homme et la machineLes progrès de l’interface humain-machine sont très rapides, et ont déjà un impact visible sur la manière dont nous travaillons. Demain, la technologie s'inscrira beaucoup plus naturellement dans notre environnement de travail et pourra être activée à travers plusieurs sens la parole, la vue, le toucher ou même l’odorat. Prenons l’exemple des technologies de contrôle vocal. Elles sont aujourd’hui capables de comprendre, interpréter et répondre à des conversations de manière professionnelle, et facilitent ainsi le déroulement des nouveaux processus de travail. Ces nouvelles compétences permettent entre autres de réaliser des diagnostics médicaux, de donner des conseils juridiques et d’organiser la vie des entreprises. Par exemple, Amazon Alexa gère aujourd’hui la réservation des salles de conférence et l’organisation des réunions de la NASA quand Amazon Transcribe se charge de retranscrire la réunion et de partager son document avec l’ensemble des nouvelles technologies permettent donc déjà de s’affranchir de certaines tâches fastidieuses. Les ressources attribuées jusqu’alors à ces tâches peuvent ainsi être consacrées à des missions ayant une réelle valeur ajoutée pour le client. Dans la même logique, les profils d’architectes, de développeurs, de spécialistes plateforme et d’analystes seront davantage recherchés que les profils classiques d’administrateurs, effectuant des tâches selon des étapes prédéfinies. En se recentrant sur le besoin humain de créer, le travail pourrait donc devenir plus épanouissant et plus davantage de personnes dans ce monde numériqueCette nouvelle compréhension de la relation entre l’homme et la machine permettra également d’impliquer de plus en plus d’individus à la création de valeur par le biais du numérique. Même les personnes ayant une connexion internet limitée, vivant dans des contrées isolées ou difficiles, ne sont pas en reste et peuvent être inclues dans cette transformation technologique. C’est le cas des riziculteurs à Manille, aux Philippines. En utilisant le Machine Learning, l’Institut International de Recherche sur le Riz délivre des recommandations aux agriculteurs sur la qualité et la quantité d’engrais à utiliser pour leurs cultures. L’augmentation de leur récolte de riz est la concrétisation directe d’un travail valorisé par la technologie. Pour l’heure, nous n’avons qu’un aperçu de ce que le monde du travail sera dans les prochaines années. Mais ce que nous voyons et vivons démontre bien que la qualité du travail humain s’améliore à mesure que la technologie progresse. Si, pour l’instant, nous ne pouvons qu’imaginer jusqu’où cette révolution technologique peut nous porter, il semblerait que la tendance nous amène à utiliser davantage notre créativité naturelle.
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