Paged'accueil; TOME 1 La prĂ©ventation - c'est simple et efficace. recto/verso ; PrĂ©sentation; Avant-propos; J'ai mal, je suis l'Ă©corchĂ© tout vif ; PrĂ©face 7/ Pour moi, il y a dans ces thĂ©rapies des thĂ©ories INCOMPATIBLES avec la santĂ© publique et la vaccination. "Le microbe n'est rien, le terrain est tout", les microzymas, toutes ces conneries. La Suisse, en ouvrant la boĂźte de Pandore, tente de mĂ©langer de l'eau avec de l'huile.” Cettephrase est souvent citĂ©e. Elle aurait Ă©tĂ© prononcĂ©e par Antoine BĂ©champ biologiste de renom, et reprise par Pasteur sur son lit de mort. Elle signifie qu’en biologie (et donc en mĂ©dicine), l’important n’est pas tant d’éradiquer la maladie que de renforcer les mĂ©canismes vitaux du corps. Leterrain est tout, le microbe n’est rien» - Antoine BĂ©champs, Claude Bernard et mĂȘme Louis Pasteur, sur son lit de mort. Le terrain dont parlent les biologistes et naturopathes, c’est notre Ă©cosystĂšme , avec ses 1014 cellules et 1015 Lemicrobe n’est rien, le terrain est tout ! DerniĂšre mise Ă  jour : 14 dĂ©c. 2020 Cette maxime attribuĂ©e Ă  Louis Pasteur (sur son lit de mort !), et que vous avez sĂ»rement dĂ©jĂ  entendue, dit tout de la philosophie de la naturopathie : c’est du terrain avant tout, dont il faut se prĂ©occuper. GyZta. Mon cher lecteur, Les bourses s’enfoncent dans la crise sous couvert de coronavirus. Elles doublent leurs pertes d’hier Ă  Wall Street avec -7,5% pour le Dow Jones et -6% pour le S&P500. La volatilitĂ© s’envole aujourd’hui VIX laissant s’installer un climat baissier
 MalgrĂ© les dĂ©clarations plus qu’ultra-accomodantes des banques centrales. Et je maintiens mon analyse d’un point de vue Ă©conomique, le coronavirus n’est qu’ un rĂ©vĂ©lateur des faiblesses de nos Ă©conomies et plus gĂ©nĂ©ralement de nos sociĂ©tĂ©s. Quelle n’a pas Ă©tĂ© ma surprise en dĂ©couvrant aujourd’hui ce texte remarquable de Xavier Bazin C’est Ă  mon avis la meilleure analyse sur le danger rĂ©el du virus et Xavier Bazin y dĂ©veloppe la thĂšse du Dr BĂ©champ, contemporain de Pasteur qui dĂźt de lui BĂ©champ avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Le terrain ? Xavier Bazin explique avec une grande clartĂ© que la santĂ© gĂ©nĂ©rale d’une population le terrain importe sans doute plus que le virus lui-mĂȘme ce n’est pas pour rien que la grippe espagnole sĂ©vit Ă  la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale sur des populations affaiblies par la guerre et ses privations. Ce n’est pas non plus pour rien que le coronavirus est bien plus lĂ©tal sur les Chinois Ă  majoritĂ© fumeurs et trĂšs exposĂ©s Ă  la pollution que dans le reste du monde. Le virus rĂ©vĂšle au niveau microscopique les faiblesses de notre organisme comme il rĂ©vĂšle les faiblesses de nos sociĂ©tĂ©s au niveau macroscopique et Ă©conomique. L’épidĂ©miologiste Luc PĂ©rino souligne dailleurs que Un virus n’a pas intĂ©rĂȘt Ă  tuer son hĂŽte car, en le tuant, il disparaĂźt aussi. Les mĂ©dias, qui ne s’intĂ©ressent qu’aux pics, ne parlent plus du Sras ni du Mers, mais ils sont toujours actifs. » Nous avons donc des raisons sĂ©rieuses de ne pas surestimer l’ampleur de cette crise. Et pensez bien que ce que je vous dis, les autoritĂ©s le savent encore mieux que moi. Alors pourquoi cet emballement mĂ©diatique et ce soudain dĂ©crochage boursier ? Les signaux sont nets, il y a de la panique au sommet panique politique Ă  Paris la passe d’arme entre Buzin et Hidalgo sur le virus est plus que dĂ©plorable, panique Ă©conomique et panique monĂ©taire. C’est que nous sommes extraordinairement fragiles sur tous ces plans. Nos sociĂ©tĂ©s ne font plus corps ». Nos Ă©conomies n’ont plus aucune rĂ©silience et nos monnaies ne sont plus que des totems qui ne tiennent qu’à la facilitĂ© et Ă  l’aveuglement collectif. Je lisais hier dans Les Échos que l’Europe tente d’endiguer la crise sans rĂ©tablir de contrĂŽles aux frontiĂšres » suivi immĂ©diatement de cette phrase les EuropĂ©ens tentent de s’organiser sans cĂ©der Ă  la panique ». Quel Ă©trange parallĂšle entre le contrĂŽle aux frontiĂšres » et la panique ». Le mĂȘme raisonnement a Ă©tĂ© tenu il n’y a pas si longtemps avec la peste porcine lorsque l’OMC a interdit les embargos sanitaires sur la viande de porc. RĂ©sultat, un quart du cheptel mondial de porc a dĂ» ĂȘtre abattu crĂ©ant une pĂ©nurie de protĂ©ines qui s’installe pour longtemps le prix du porc en France a bondi de 50% alors que nous n’avons pas Ă©tĂ© touchĂ©s. Je ne doute pas de la difficultĂ© Ă  apporter la bonne rĂ©ponse Ă  la crise du coronavirus et je ne doute pas non plus de notre Ă©chec si nous restons aveuglĂ©s d’idĂ©ologie nĂ©olibĂ©rale au dĂ©triment de l’efficacitĂ© et de la luciditĂ©. AprĂšs tout, rĂ©tablir des contrĂŽles aux frontiĂšres n’a rien de scandaleux et l’on pourrait bien se souvenir de certaines vertus oubliĂ©es de cet exercice fondamental de notre souverainetĂ©. C’est peut-ĂȘtre cela qu’ils craignent. Nous pourrions estimer collectivement que le coronavirus n’est pas diffĂ©rent de la grippe saisonniĂšre et ne rien changer Ă  nos habitudes. Nous pourrions au contraire choisir de prendre des mesures de prĂ©cautions et nous protĂ©ger prĂ©ventivement. Je ne crois pas qu’un choix soit meilleur que l’autre ou en tout cas, que nous ayons les Ă©lĂ©ments pour trancher avec certitude. Mais quelle Ă©trange façon de laisser nos frontiĂšres ouvertes tout en laissant s’installer un climat mĂ©diatique si anxiogĂšne nous avons le pire des deux choix mais de choix nous n’en avons eu aucun tant nos dirigeants ont perdu pied avec la rĂ©alitĂ©. Nous observons dans cette crise un bouquet de rĂ©actions pathologiques qui accompagnent gĂ©nĂ©ralement les grandes crises sanitaires de notre histoire par exemple la grande peste de 1720 Ă  Marseille. Notre chance est que le coronavirus ne soit pas plus mortel. Notre malheur est que nous ne sachions rĂ©agir face Ă  ce risque
 Alors que cette partie, elle, est entre nos mains. Face Ă  l’effondrement de nos structures politiques et sociales, le salut de l’investisseur se trouve dans le local et l’inaltĂ©rable, dans l’investissement de proximitĂ© et dans l’or, qui sont deux piliers de longue date de Risque & Profit que je vous invite Ă  dĂ©couvrir en cliquant ICI. À votre bonne fortune, Guy de La Fortelle ï»żCette citation est souvent utilisĂ©e par les naturopathes pour expliquer une vision de la santĂ© dans laquelle le terrain de l’individu est central pour prĂ©venir de la maladie. Cette phrase est enseignĂ©e dans toutes les Ă©coles de Naturopathie et fait partie des jalons historiques qui ont amenĂ© Ă  la pensĂ©e naturopathique moderne. Mais cette citation ne prĂ©sente-t-elle pas une vision extrĂ©miste qui est bien loin de la rĂ©alitĂ© du vivant et qui va mĂȘme Ă  l’encontre des enjeux d’une santĂ© intĂ©grative ? Un contexte indispensable J’ai rarement vu une citation attribuĂ©e Ă  autant de personnes BĂ©champ, Bernard et mĂȘme Pasteur sur son lit de mort ! Ce joyeux bazar de paternitĂ© rĂ©vĂšle bien les dĂ©rives qui accompagnent cette phrase une utilisation qui Ă©lude le contexte historique et alimente un conflit stĂ©rile entre deux camps, deux visions de la santĂ©. Retournons Ă  la fin du 18e siĂšcle, Antoine BĂ©champ constate dans ses recherches le plĂ©iomorphisme microbien en fonction du contexte, le microbe peut devenir l’expression d’une maladie et non plus sa cause. ProblĂšme, cette constatation vient relativiser la vision monolithique de Pasteur qui considĂšre le microbe comme l’ennemi Ă  abattre car Ă  l’origine de tous les maux. Il n’en fallait pas plus pour lancer une guerre de dogmes. Chaque camp utilise la caricature pour ridiculiser l’autre, les positions se radicalisent et on arrive Ă  cette opposition binaire “microbe est tout” vs. “microbe n’est rien”. BĂ©champ ? Avec un peu de recul, j’estime que cette citation n’illustre pas vraiment la conception de santĂ© initiale de BĂ©champ, qui Ă©tait beaucoup plus modĂ©rĂ©e et subtile. Si BĂ©champ l’a prononcĂ©e, ce serait plutĂŽt sur le coup d’un agacement face aux attaques, du style un tweet rageux. Cette phrase est la relique d’une bagarre stĂ©rile entre deux visions caricaturales qui s’employaient Ă  prendre le dessus l’une sur l’autre. La mĂ©decine pasteurienne a gagnĂ© le combat Ă  l’époque mais depuis, les opposants Ă  cette philosophie n’ont de cesse d’exhumer la citation de BĂ©champ pour critiquer la mĂ©decine conventionnelle. Et si on passait Ă  autre chose ? Un discours totalitaire n’est que vecteur de clivage. Pourtant, les naturopathes diffusent cette citation sans vraiment prendre conscience de sa dimension dogmatique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire de la sensibilisation sur le terrain sans retomber dans ces travers passĂ©s ? Et puis, les recherches rĂ©centes, notamment sur le microbiote, rendent complĂštement dĂ©suĂšte cette citation. Le microbe virus, bactĂ©rie, champignon fait partie de notre terrain et joue un rĂŽle majeur pour notre immunitĂ©. Il n’est donc pas “rien” mais aussi un alliĂ© indispensable Ă  notre santĂ©, Ă  notre rĂ©sistance aux maladies et tout simplement Ă  notre vie. La naturopathie est d’ailleurs particuliĂšrement vigilante Ă  prĂ©server l’équilibre intestinal et Ă  chouchouter le microbiote. N’est-il pas contradictoire de sensibiliser les gens sur les “bons microbes” qui ont un rĂŽle central dans le travail du terrain et en parallĂšle se rĂ©fĂ©rer Ă  une citation qui assĂšne que le “microbe n’est rien” ? Vers la santĂ© intĂ©grative J’ai pris conscience de cette contradiction en Ă©coutant le Dr Daniel PĂ©noĂ«l qui lors d’une confĂ©rence s’est moquĂ© gentiment des naturopathes et de leur citation prĂ©fĂ©rĂ©e. La dimension binaire de cette phrase est en effet trĂšs loin de la rĂ©alitĂ© de la vie qui est tout en nuances et en subtilitĂ©. Le vivant est dans une recherche permanente d’équilibre en activant de multiples symbioses et interactions entre le milieu intĂ©rieur et l’environnement. Tout ou rien, bien ou mal, cette logique de dualitĂ© n’a pas vraiment cours au sein de notre organisme. Il est donc grand temps d’enterrer dĂ©finitivement cette citation, ou du moins de la relayer aux livres d’Histoire, afin de construire une vision de la santĂ© moins radicale dans laquelle les diffĂ©rentes approches puissent se nourrir et non se combattre, Ă  la maniĂšre de la synergie vertueuse entre les microbes et notre organisme. Emma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayEmma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est toutLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de SophieDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de Sophie Vues 1 562 Il y a quelque chose d’absolument stupĂ©fiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! VoilĂ  un homme dont la principale gloire Ă  la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessĂ© et mutilĂ© plus de manifestants que l’ensemble des prĂ©sidents de la RĂ©publique qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se reprĂ©sente Ă  la PrĂ©sidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection rĂ©sulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaĂźtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il rĂ©ussit durant son premier mandat Ă  transformer, par touches successives, une dĂ©mocratie en un rĂ©gime autocratique, portant le systĂšme de propagande d’État Ă  un niveau de perfection jamais atteint par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquĂ©e reste nĂ©anmoins classique. Elle consiste Ă  A Lobotomiser la population en rĂ©pĂ©tant une information, toujours identique, formatĂ©e et contrĂŽlĂ©e. Elle est reprise en boucle sur les chaĂźnes publiques de radio et de tĂ©lĂ©vision sans oublier les chaĂźnes privĂ©es d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministĂšre de la VĂ©ritĂ© voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le mĂȘme narratif Ă  longueur de journĂ©e. Personne ne peut y Ă©chapper. Bien sĂ»r, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait lĂ  qu’appliquer des mĂ©thodes de lavage des esprits Ă©prouvĂ©es depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait dĂ©jĂ  dans les annĂ©es trente un mensonge rĂ©pĂ©tĂ© 5 fois reste un mensonge, mais rĂ©pĂ©tĂ© 100 devient vĂ©ritĂ© ». B DĂ©velopper des comitĂ©s de censure dĂ©guisĂ©s souvent en comitĂ©s d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommĂ©s. LĂ  encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent Ă  la crĂ©ation dĂšs 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archĂ©type du comitĂ© de censure d’État Ă  la botte du rĂ©gime, son bras armĂ©, chargĂ© d’asservir l’audiovisuel en dĂ©finissant les temps de passage Ă  l’antenne, en infligeant des amendes exorbi­tantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion Ă  tout site qui serait tentĂ© de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non reprĂ©sentatif de la Nation parce qu’élu non dĂ©mocratiquement des lois liberticides visant Ă  bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet Ă  s’autocensurer et Ă  retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journĂ©e sous la menace d’amendes ou d’ĂȘtre privĂ©s du droit de diffusion. La brĂšve liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des mĂ©thodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertĂ©s fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrĂŽle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du systĂšme de santĂ©, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de rĂ©pression comme l’a montrĂ© la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le rĂ©gime prĂ©serve les apparences d’une dĂ©mocratie puisque des Ă©lections sont organisĂ©es rĂ©guliĂšre­ment 
 sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se rĂ©veiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des annĂ©es le mĂȘme narratif sans rĂ©elle contre information. C’est cela la dĂ©mocrature la majoritĂ© du peuple, lobotomisĂ©e et devenue incapable d’aucun question­nement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisquĂ© le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes Cher Philippe, pPour votre info, j’ai oubliĂ© de vous dire – car la vĂ©ritĂ© se doit toujours d’ĂȘtre rĂ©tablie en toute circonstance et il semblerait que cette prĂ©cision vous ait Ă©chappĂ© – que Louis Pasteur a eu l’honnĂȘtetĂ©, la dignitĂ© et le courage de se dĂ©dire en dĂ©clarant sur sont lit de mort les paroles suivantes BĂ©champ semble ĂȘtre non pas un concurrent mais un autre chercheur qui ne partageait pas les points de vue de Pasteur. Seulement Ă  quelques heures d’expirer, les officiels n’ont pas pris sa confession pour sĂ©rieuse et le processus lancĂ© par le biologiste battait son plein et il n’était plus question de faire machine arriĂšre avec les enjeux que l’on peut imaginer. VoilĂ  une prĂ©cision que vous ne manquerez pas de classer afin d’incriminer davantage la Grosse Berta mĂ©dicale plutĂŽt que le repenti Pasteur. Cela n’enlĂšve pas les victimes dues aux expĂ©riences de vaccinations que vous Ă©voquiez. Quand on me parle de vaccination, Ă©tant enseignant de yoga, j’avance immĂ©diatement l’idĂ©e que les animaux ne la connaissent pas sauf celles qu’on leur fait subir bien Ă©videmment et j’ajoute que les mĂ©decins semblent ĂȘtre les spĂ©cialistes de la maladie et sont trĂšs loin d’ĂȘtre ceux de la santĂ©. VoilĂ  oĂč se perche l’orgueil des humains qui ne laisse nullement l’organisme faire son travail car de toute Ă©vidence il sait le faire pour peu qu’on ne vienne pas le perturber trois fois par jour en lui imposant des nourritures qui n’en sont pas. Et en cette occasion je prĂ©cise toujours qu’il y a trois façons d’ouvrir la bouche devant une assiette – l’on peut bouffer, l’on peut manger ou l’on peut se nourrir. Le corps en subira les consĂ©quences il peut devenir un dĂ©potoir avec un indiscutable dĂ©pĂŽt de bilan Ă  la clef ou alors un temple. D’ailleurs pour remettre les choses Ă  leur place, il m’est arrivĂ© de faire des grands jeĂ»nes de quarante jours avec une dĂ©lectation sans nom. Et toujours pour le plaisir. Si demain m’était annoncĂ© un cancer ou une sclĂ©rose en plaque ou un Parkinson, je ne manquerai pas d’avoir recours Ă  cette technique fabuleuse que mĂšre-Nature a mis Ă  la disposition des crĂ©atures puisque les animaux malades ou blessĂ©s y ont spontanĂ©ment recours. Il conviendrait de se souvenir que JĂ©sus prĂ©conisait la santĂ© car si l’on retient son ministĂšre comme consacrĂ© aux Ăąmes, cet autre ministĂšre bien moins connu Ă©tait dĂ©volu aux corps; hĂ©las ce cĂŽtĂ©-lĂ  de son vaste et merveilleux enseignement a Ă©tĂ© oubliĂ© et un ouvrage trĂšs passionnant consigne toutes ses intentions-lĂ  et il s’intitule “L’Évangile de la Paix de JĂ©sus Christ selon Saint Jean” Recueil rĂ©digĂ© en slavon et en aramĂ©en, langues contemporaines Ă  notre MaĂźtre Ă  tous. Ouvrage dont deux exemplaires originaux Ă©taient classĂ©s en deux endroits la bibliothĂšque des Habsbourg Ă  Vienne et celle du Vatican. Dans cette derniĂšre, il y a trĂšs certainement beaucoup d’ouvrages “qui prennent la poussiĂšre” et dont on se garderait bien d’en divulguer l’existence tant ils dĂ©rangeraient l’establishment. L’on doit cette parution au travail de l’anglais Edmond SzĂ©kely qui ensuite a Ă©tĂ© traduit par le Dr. Bertholet. Je vous laisse cher ami, et j’attends toujours avec passion vos interventions. Fraternellement Philippe L’article original sur Cliquez sur l’image ou sur le lien au-dessus ! 1 364 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimĂ©es sont ceux de leurs auteurs et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement mon opinion. articleCogiitoInformationPhilippeJandrokVĂ©ritĂ©

le microbe n est rien le terrain est tout